Bibliothèque du Centre de Recherche sur l'Habitat
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Titre : Après les banlieues rouges / Hérodote. Type de document : texte imprimé Auteurs : HERODOTE Editeur : Paris : La Découverte Année de publication : 1986 Collection : Hérodote, Revue de géographie et de géopolitique, 0038-487 , 4ème trim. 1986, n°43 Importance : 169 p. : tabl., cartes, fig. Langues : Français (fre) Mots-clés : Urbain politiques urbaines Banlieue Grands ensembles Seine St Denis Après les banlieues rouges / Hérodote. [texte imprimé] / HERODOTE . - Paris : La Découverte, 1986 . - 169 p. : tabl., cartes, fig.. - (Hérodote, Revue de géographie et de géopolitique, 0038-487 , 4ème trim. 1986, n°43) .
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Urbain politiques urbaines Banlieue Grands ensembles Seine St Denis Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 3179 U po 30 Livre Bibliothèque principale Principale Disponible
Titre : L'art de la thèse : comment préparer et rédiger un mémoire de master, une thèse de doctorat ou tout autre travail universitaire à l'ère du Net Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Beaud, Auteur ; Magali Gravier (1967-....), Collaborateur ; Alain de Tolédo, Collaborateur Mention d'édition : Édition révisée, mise à jour et élargie Editeur : Paris : La Découverte Année de publication : DL 2005 Collection : Grands Repères. Guides Sous-collection : Guides Importance : 1 vol. (202 p.) Présentation : ill. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7071-4794-3 Langues : Français (fre) Mots-clés : Travail intellectuel -- Méthodologie Dissertations universitaires comme sujet Thèses et écrits académiques Résumé : Mémoires de master et thèses de doctorat résultent d'un travail qui implique une méthode, mais aussi un savoir-faire. Quel sujet et quel directeur choisir ? Une thèse - ou une cotutelle - en Europe ? Pourquoi faut-il penser très tôt aux multiples fonctions de l'ordinateur ? Quelle démarche de recherche adopter ? Quel calendrier ? Quelle problématique ? Comment construire sa documentation ? Comment se servir au mieux d'Internet ? Comment passer du plan de travail au plan de rédaction ? Comment entendre les conseils de son directeur de thèse ? Comment rédiger ? Comment réaliser la bibliographie, la table des matières, les index ? Comment présenter la thèse ? Comment se préparer à la soutenance ? Des conseils qui ont fait leurs preuves depuis plus de vingt ans. Et de nouveaux conseils pour faire le meilleur usage possible de son PC, de son Mac et d'Internet. L'art de la thèse : comment préparer et rédiger un mémoire de master, une thèse de doctorat ou tout autre travail universitaire à l'ère du Net [texte imprimé] / Michel Beaud, Auteur ; Magali Gravier (1967-....), Collaborateur ; Alain de Tolédo, Collaborateur . - Édition révisée, mise à jour et élargie . - Paris : La Découverte, DL 2005 . - 1 vol. (202 p.) : ill. ; 22 cm. - (Grands Repères. Guides. Guides) .
ISBN : 978-2-7071-4794-3
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Travail intellectuel -- Méthodologie Dissertations universitaires comme sujet Thèses et écrits académiques Résumé : Mémoires de master et thèses de doctorat résultent d'un travail qui implique une méthode, mais aussi un savoir-faire. Quel sujet et quel directeur choisir ? Une thèse - ou une cotutelle - en Europe ? Pourquoi faut-il penser très tôt aux multiples fonctions de l'ordinateur ? Quelle démarche de recherche adopter ? Quel calendrier ? Quelle problématique ? Comment construire sa documentation ? Comment se servir au mieux d'Internet ? Comment passer du plan de travail au plan de rédaction ? Comment entendre les conseils de son directeur de thèse ? Comment rédiger ? Comment réaliser la bibliographie, la table des matières, les index ? Comment présenter la thèse ? Comment se préparer à la soutenance ? Des conseils qui ont fait leurs preuves depuis plus de vingt ans. Et de nouveaux conseils pour faire le meilleur usage possible de son PC, de son Mac et d'Internet. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 100413 AB BEA Livre Bibliothèque principale Principale Disponible "Les Bandes de jeunes : des ""blousons noirs"" à nos jours" / Mohammed, Marwan sous la dir. deMucchielli, Laurent sous la dir. de
Titre : "Les Bandes de jeunes : des ""blousons noirs"" à nos jours" Type de document : texte imprimé Auteurs : Mohammed, Marwan sous la dir. deMucchielli, Laurent sous la dir. de Editeur : Paris : La Découverte Année de publication : 2007 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7071-5345-6 "Les Bandes de jeunes : des ""blousons noirs"" à nos jours" [texte imprimé] / Mohammed, Marwan sous la dir. deMucchielli, Laurent sous la dir. de . - Paris : La Découverte, 2007.
ISBN : 978-2-7071-5345-6Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 7890 MV d 44 Livre Bibliothèque principale Principale Disponible
Titre : Cartographie radicale : explorations Type de document : texte imprimé Auteurs : Nepthys Zwer (1962-....), Auteur ; Philippe Rekacewicz (1960-....), Auteur Editeur : Paris : La Découverte Année de publication : DL 2021 Importance : 1 volume (295 p.) Présentation : illustrations en noir et en couleurs, cartes, couverture illustrée en couleurs Format : 28 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-37368-053-9 Langues : Français (fre) Mots-clés : Pratiques politiques Sciences Cartographie -- Société Cartographie -- Aspect politique Cartographie critique Découvertes géographiques Émancipation Résumé : Il est des cartes qui disent non. Des cartes radicales, qui dévoilent et dénoncent, qui protestent. Pour comprendre ces cartes rebelles, leur fonctionnement, leurs forces, leurs possibilités, ce livre entreprend un voyage d'exploration au coeur de la création cartographique. Que se passe-t-il exactement quand nous élaborons une carte, qu'elle soit radicale, expérimentale (on parle aussi de cartographie critique ou de contre-cartographie) ou conventionnelle ? Quelles intentions président à sa fabrication et à sa mise en oeuvre ? La première fonction des cartes est de nous aider à nous repérer dans l'espace et à nous déplacer d'un point à un autre. Elles permettent aux bateaux de naviguer et aux avions de voler. Avec des cartes, on fait la guerre, puis éventuellement la paix. Elles sont aussi de formidables machines à rêves, qui façonnent notre image du monde, en fixent la mémoire et finissent par fabriquer notre réalité. Qu'est-ce qui motive cet acte très particulier de mise en forme symbolique du monde, de Strabon à l'anarchiste Elisée Reclus, de la bénédictine Hildegard von Bingen à l'explorateur Alexander von Humboldt, des portulans à la carte d'état-major ? Quelle part de fantaisie créatrice, quelle part de fantasme faustien d'une possible maîtrise de notre environnement, quelle part de sincérité scientifique sont-elles à l'oeuvre ? Entre l'émergence de la cartographie thématique audacieuse de l'ingénieur Charles-Joseph Minard, ou celle des designers d'information Otto et Marie Neurath, et l'approche sémiologique conceptuelle de Jacques Bertin, se situe un point de rupture avec les conventions de la représentation cartographique. Un point libérateur qui a ouvert le champ de l'expérimentation et rendu possible la démocratisation des cartes. Autour des années 1900, le sociologue W. E. B. du Bois et son équipe inventaient de nouvelles façons graphiques de représenter des données statistiques sur la situation des personnes noires aux Etats-Unis. Quelque soixante ans plus tard, c'était pour dénoncer le même racisme culturel et économique qu'un petit institut de géographie de Détroit, animé par William Bunge et Gwendolyn Warren, donnait ses contours à ce qui deviendra la géographie radicale : une géographie engagée. Alors, le rapport à l'objet carte change. S'opère une prise de conscience quant à son usage et à ses possibilités. La cartographie radicale va spatialiser les données économiques et sociales, produire des cartes délibérément politiques qui montrent et dénoncent les situations d'inégalités de vie et de droits, les compromissions politico-économiques, les accaparements de terres, la destruction des milieux par l'agro-industrie, la pollution de la planète et tout ce qui hypothèque, d'une façon ou d'une autre, le bonheur et l'avenir de l'humanité. Les cartes, qui jouent traditionnellement le jeu du pouvoir, se font outils de la contestation et instruments d'émancipation politique et sociale quand la société civile se les approprie. Politique, art et science entrent alors en dialogue permanent pour proposer une image non convenue et libre du monde. Note de contenu :
1 Quel monde!
Dess(e)ins
Le spectacle du monde
Trois concepts
Distorsions
2 La face du monde
Un monde systémique
Circulations
Cartographier la complexité
3 La carte comme volonté
Le geste cartographique
La plume et le pouvoir
Transformer l'espace
Les cartes« si»
4 Sous la carte
La liberté des cartographes
Science, com' ou propagande?
5 La fabrique du monde
La réalité par les cartes
Où sont les femmes?
6 L'autre regard
Pourquoi faire autrement?
Contre-cartographier
Une affaire de polis
7 Géométries. Le laboratoire
Une science des formes
Élaborations
8 De l'art
Le musée aime les cartes radicales
L'objet du débat
L'art de la carte
Épilogue
AnnexesCartographie radicale : explorations [texte imprimé] / Nepthys Zwer (1962-....), Auteur ; Philippe Rekacewicz (1960-....), Auteur . - Paris : La Découverte, DL 2021 . - 1 volume (295 p.) : illustrations en noir et en couleurs, cartes, couverture illustrée en couleurs ; 28 cm.
ISBN : 978-2-37368-053-9
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Pratiques politiques Sciences Cartographie -- Société Cartographie -- Aspect politique Cartographie critique Découvertes géographiques Émancipation Résumé : Il est des cartes qui disent non. Des cartes radicales, qui dévoilent et dénoncent, qui protestent. Pour comprendre ces cartes rebelles, leur fonctionnement, leurs forces, leurs possibilités, ce livre entreprend un voyage d'exploration au coeur de la création cartographique. Que se passe-t-il exactement quand nous élaborons une carte, qu'elle soit radicale, expérimentale (on parle aussi de cartographie critique ou de contre-cartographie) ou conventionnelle ? Quelles intentions président à sa fabrication et à sa mise en oeuvre ? La première fonction des cartes est de nous aider à nous repérer dans l'espace et à nous déplacer d'un point à un autre. Elles permettent aux bateaux de naviguer et aux avions de voler. Avec des cartes, on fait la guerre, puis éventuellement la paix. Elles sont aussi de formidables machines à rêves, qui façonnent notre image du monde, en fixent la mémoire et finissent par fabriquer notre réalité. Qu'est-ce qui motive cet acte très particulier de mise en forme symbolique du monde, de Strabon à l'anarchiste Elisée Reclus, de la bénédictine Hildegard von Bingen à l'explorateur Alexander von Humboldt, des portulans à la carte d'état-major ? Quelle part de fantaisie créatrice, quelle part de fantasme faustien d'une possible maîtrise de notre environnement, quelle part de sincérité scientifique sont-elles à l'oeuvre ? Entre l'émergence de la cartographie thématique audacieuse de l'ingénieur Charles-Joseph Minard, ou celle des designers d'information Otto et Marie Neurath, et l'approche sémiologique conceptuelle de Jacques Bertin, se situe un point de rupture avec les conventions de la représentation cartographique. Un point libérateur qui a ouvert le champ de l'expérimentation et rendu possible la démocratisation des cartes. Autour des années 1900, le sociologue W. E. B. du Bois et son équipe inventaient de nouvelles façons graphiques de représenter des données statistiques sur la situation des personnes noires aux Etats-Unis. Quelque soixante ans plus tard, c'était pour dénoncer le même racisme culturel et économique qu'un petit institut de géographie de Détroit, animé par William Bunge et Gwendolyn Warren, donnait ses contours à ce qui deviendra la géographie radicale : une géographie engagée. Alors, le rapport à l'objet carte change. S'opère une prise de conscience quant à son usage et à ses possibilités. La cartographie radicale va spatialiser les données économiques et sociales, produire des cartes délibérément politiques qui montrent et dénoncent les situations d'inégalités de vie et de droits, les compromissions politico-économiques, les accaparements de terres, la destruction des milieux par l'agro-industrie, la pollution de la planète et tout ce qui hypothèque, d'une façon ou d'une autre, le bonheur et l'avenir de l'humanité. Les cartes, qui jouent traditionnellement le jeu du pouvoir, se font outils de la contestation et instruments d'émancipation politique et sociale quand la société civile se les approprie. Politique, art et science entrent alors en dialogue permanent pour proposer une image non convenue et libre du monde. Note de contenu :
1 Quel monde!
Dess(e)ins
Le spectacle du monde
Trois concepts
Distorsions
2 La face du monde
Un monde systémique
Circulations
Cartographier la complexité
3 La carte comme volonté
Le geste cartographique
La plume et le pouvoir
Transformer l'espace
Les cartes« si»
4 Sous la carte
La liberté des cartographes
Science, com' ou propagande?
5 La fabrique du monde
La réalité par les cartes
Où sont les femmes?
6 L'autre regard
Pourquoi faire autrement?
Contre-cartographier
Une affaire de polis
7 Géométries. Le laboratoire
Une science des formes
Élaborations
8 De l'art
Le musée aime les cartes radicales
L'objet du débat
L'art de la carte
Épilogue
AnnexesExemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 100951 AE ZWE Livre Bibliothèque principale Principale Disponible
Titre : Ceux qui restent : faire sa vie dans les campagnes en déclin Type de document : texte imprimé Auteurs : Benoît Coquard, Auteur Editeur : Paris : La Découverte Année de publication : 2021 Collection : L'Envers des faits, ISSN 2491-4592 Importance : 1 vol. (211 p.) : couv. ill. en coul. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-348-04447-2 Note générale : Texte remanié de : Thèse de doctorat : Sociologie : Université de Poitiers : 2016 Langues : Français (fre) Catégories : Enquêtes Mots-clés : Conditions rurales -- France -- 1990-2020 Vie rurale -- France -- 1990-2020 Résumé : Qui sont ces hommes et ces femmes qui continuent d’habiter dans les campagnes en déclin ? Certains y fantasment le « vrai » peuple de la « France oubliée », d’autres y projettent leur dégoût des prétendus « beaufs » racistes et ignorants. Mais « ceux qui restent » se préoccupent peu de ces clichés éculés. Comment vit-on réellement dans des zones dont on ne parle d’ordinaire que pour leur vote Rassemblement national ou, plus récemment, à l’occasion du mouvement des Gilets jaunes ? Parmi les nouvelles générations, ils sont nombreux à rejoindre les villes pour les études, puis il y a ceux qui restent, souvent parce qu’ils n’ont pas les ressources nécessaires pour partir. Ceux-là tiennent néanmoins à ce mode de vie rural et populaire dans lequel « tout le monde se connaît » et où ils peuvent être socialement reconnus. Comment perçoivent-ils alors la société qui les entoure ? À qui se sentent-ils opposés ou alliés ? À partir d’une enquête immersive de plusieurs années dans la région Grand-Est, Benoît Coquard plonge dans la vie quotidienne de jeunes femmes et hommes ouvriers, employés, chômeurs qui font la part belle à l’amitié et au travail, et qui accordent une importance particulière à l’entretien d’une « bonne réputation ». À rebours des idées reçues, ce livre montre comment, malgré la lente disparition des services publics, des usines, des associations et des cafés, malgré le chômage qui sévit, des consciences collectives persistent, mais sous des formes fragilisées et conflictuelles. L’enquête de Benoît Coquard en restitue la complexité. (4e de couverture) Ceux qui restent : faire sa vie dans les campagnes en déclin [texte imprimé] / Benoît Coquard, Auteur . - Paris : La Découverte, 2021 . - 1 vol. (211 p.) : couv. ill. en coul. ; 22 cm. - (L'Envers des faits, ISSN 2491-4592) .
ISBN : 978-2-348-04447-2
Texte remanié de : Thèse de doctorat : Sociologie : Université de Poitiers : 2016
Langues : Français (fre)
Catégories : Enquêtes Mots-clés : Conditions rurales -- France -- 1990-2020 Vie rurale -- France -- 1990-2020 Résumé : Qui sont ces hommes et ces femmes qui continuent d’habiter dans les campagnes en déclin ? Certains y fantasment le « vrai » peuple de la « France oubliée », d’autres y projettent leur dégoût des prétendus « beaufs » racistes et ignorants. Mais « ceux qui restent » se préoccupent peu de ces clichés éculés. Comment vit-on réellement dans des zones dont on ne parle d’ordinaire que pour leur vote Rassemblement national ou, plus récemment, à l’occasion du mouvement des Gilets jaunes ? Parmi les nouvelles générations, ils sont nombreux à rejoindre les villes pour les études, puis il y a ceux qui restent, souvent parce qu’ils n’ont pas les ressources nécessaires pour partir. Ceux-là tiennent néanmoins à ce mode de vie rural et populaire dans lequel « tout le monde se connaît » et où ils peuvent être socialement reconnus. Comment perçoivent-ils alors la société qui les entoure ? À qui se sentent-ils opposés ou alliés ? À partir d’une enquête immersive de plusieurs années dans la région Grand-Est, Benoît Coquard plonge dans la vie quotidienne de jeunes femmes et hommes ouvriers, employés, chômeurs qui font la part belle à l’amitié et au travail, et qui accordent une importance particulière à l’entretien d’une « bonne réputation ». À rebours des idées reçues, ce livre montre comment, malgré la lente disparition des services publics, des usines, des associations et des cafés, malgré le chômage qui sévit, des consciences collectives persistent, mais sous des formes fragilisées et conflictuelles. L’enquête de Benoît Coquard en restitue la complexité. (4e de couverture) Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 100331 GL COQ Livre Bibliothèque principale Principale Disponible
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